Un frère interrogea un vieillard en disant : « Si je vois un frère dont on m’a dit une faute, je n’ai pas de goût à l’introduire dans ma cellule ; mais si je vois un bon frère, je l’accueille volontiers ». Le vieillard lui dit : « Si tu fais un peu de bien au bon frère, fais le double avec l’autre, car c’est lui qui est malade ».